Encapuchonnée... [Scène de torture signée Black]

Je me mettais à travers son chemin et il me regardait d'un air impénétrable. Etait-il hagard, terrifié, inquiet, arrogant?... Je n'en savais fichtre rien...

"Eh petit !" appellais-je. "Qu'est-ce que tu as a me suivre ainsi?"

Ma main frémissait et se crispait de haine sur ma baguette bien que ce mome n'avait rien fait. J'étais prète à bondir comme une tigresse qui protège ses enfants...

Cedric s'arreta, mefiant. Il la regarda mais ne vit qu'une silhouette encapuchonee. Il plissa les yeux et entendit une voix de femme. A sa question, il repondit, sans ciller.

-Je ne vous suis pas, je vais dans la meme direction que vous.

Dit il avec une pointe de provocation dans la voix. Non, elle ne lui faisait pas peur. Mais il se mefiait tout de meme...

Je regardais de plus près et me rendit compte que ce jeune homme avait les traits d'un homme du ministère qui fut à l'école en même temps que moi, un crétin. "Mon petit, sais-tu où tu es exactement? Si j'étais toi, je ne risquerais pas ma vie pour si peu... Sais-tu exactement qui je suis, jeune Diggory?"

Cedric la regardait, froncant les sourcils, mais toujours sans ciller. Sa voix etait devenue froide et narquoise. Que voulait elle dire... "je ne risquerais pas ma vie pour si peu" ? Mais lorsqu'elle prononca son nom, son coeur s'emballa et il ecarquilla les yeux. Comment pouvait elle le connaitre ?? Il recula de quelques pas, en la fixant, de plus en plus mefiant.
-Qui..qui etes vous ?

Je le regardais et un rictus qu'il ne pouvait voir apparut sur mon visage. Je lui sifflais alors des paroles qu'ils n'oublierait jamais et à en lire son esprit, jamais il ne retournerais ici pour passer dans la stupide boutique des deux rouquins...
"Je ne te dirais pas exactement qui je suis car tu me dénonceras à ton père et je ne suis pas folle au point de vouloir retourner à Azkaban. Mais tu dois deviner facilement le nom de mon maître..."

J'éclatais d'un rire histérique qui le faisait frémir.

"Hahahaha... Une baguette d'un jeune homme de dix sept ans contre l'expérience d'une Mangemort de cinquante quatre ans... C'est illarant. Veux-tu vraiement te battre?"

Je sortir ma baguette et je vis dans ses yeux la terreur bien qu'il s'efforcait de montrer la loyauté au bon côté. Le côté de Dumbledore.

"Sais-tu ce que j'ai fait subir aux Londubat? Ils ont souffert des sortilèges de Doloris que je leur ai administré... Ils sont devenus fous ! Ils sont à Sainte- Mangouste!"

Drago qui passait par là vit Bellatrix pointé sa baguette sur son meilleur ami, il courut et se mit devant Cedric et pointa sa baguette sur elle

Je ne te conseille pas d'essayer de le toucher.

Il la regardait avec de la fureur dans les yeux

"Très bien alors lequel de ces idiots emmeneront nous à Ste Mangouste??? Endoloris !" lançais-je au hazard. Il tomba sur Drago. "C'est bête ! Au mauvais endroit au mauvais moment... HAHAHA !!!"

Son rire lui glaca le sang.Cedric posa ses yeux sur la baguette de la mangemort. Cinquante quatre ans ? A sa voix on aurait dit qu'elle en avait vingt...Mais il n'avait pa encore vu son visage..

-Expelliarmus !

S'ecria t-il en la visant, bien qu'il se doute qu'une mangemort resisterais plus que facilement a un sort pareil...il n'eut aucun effet sur elle. Il recula encore de quelques pas.Il ne voulait pas se battre en duel..c'etait trop risque...Il vit Drago arriver.

-Que voulez vous ?

Dit il nerveusement a l'adresse de Bellatrix.

Diggory venait de me demander ce que je voulais mais la réponse était pourtant simple.

"J'aimerais bien te torturer, cafard... Tu as surement deviné qui je suis et je n'aimerais pas que tu dise tout à ton père. Endoloris !"

Mais tandis que les deux adolescants se tordaient de douleur, Amos Diggory courrut dans la rue.

"Cedric ! Drago !"

Je ne put rien faire d'autre que fuire comme une lache. Je transplanais alors loin des deux adolescants meurtris et de l'homme du ministère.

-Mon fils !!

Amos pu voir son fils ainsi qu le fils Malefoy etandus sur le sol, se tordant de douleur.

-Finite Incantatem !

Rugit-il en pointant sa baguette sur Cedric puis sur Drago. Le sort se dissipa doucement.

-Les garcons...ca va ??! Calmez vous ...

[b]Drago était face contre terre, sa respiration était saccadé, il tremblait, il ne pouvait pas bouger, la douleur était encore là, mais moins intense. Il ne pouvait pas parler. Soudain, la fureur l'emplit, il pensait à Bellatrix, elle allait le payer...il la haïssait, bien qu'elle soit sa tante. Il voulait la tuer, elle a voulu s'en prendre à un de ses amis, elle allait souffrir bien qu'elle soit beaucoup plus expérimenté que Drago, il s'en fichait complétement.

Tout comme Drago, Cedric ressentait la pire des douleurs. Mais celle-ci disparut peu a peu lorsque son pere lanca le sortilege. Cedric etait sur le dos, etendu de tout son long et respirait precipitemment. Il tremplait et avait des spasmes. Il ouvrit les yeux lentement et pu voir son pere, penche au dessus de lui. Lentement, il se redressa de maniere a etre assis. Il se sentait faible...il tourna la tete vers Drago. Lui aussi reprenait son souffle et sa douleure se dissipait.

-Drago...ca va ?

Demanda Cedric d'une voix faible a son ami.

Il se redressa lentement et regarda Cedric

Oui...oui je crois...

Il lui tapa sur l'épaule

J'espère qu'elle ne t'as pas fais de mal.

Il se releva

Cedric ne repondit pas a la question. Pas fait de mal ? Il voulait rire ou quoi ?? Le sortilege Doloris....la douleure en elle meme. Il se releva ensuite. Amos regarda Cedric d'un air inquiet puis tourna son regard vers Drago.

-C'etait Bellatrix n'est-ce pas ?

Dit il. Il n'en etait pas certain. Mais il etait sur que Drago savait de qui il s'agissait. Et si c'etait elle...il pourrait prevenir Cornelius que Bellatrix etait a Pres-au-Lard...

Il regarda autour de lui

Oui, c'est elle, ma tante.

Il le regarda

Malheuresement;

Amos serra les dents a sa reponse.

-Je dois rentrer au ministere. Vous deux, rentrez au chateau ! Et ne faites aucun detour !

Et il transplana quelques secondes apres, laissant les deux jeunes hommes. Cedric se tourna vers Drago.

-Allons-y...

Dit il en prenant la route qui menait au chateau. Il etait perdu dans ses pensees sur le chemin du retour.